Cette fois, c’est la bonne ! Après deux annulations en 2020 en raison de la situation sanitaire, la deuxième édition du festival Motàmot aura lieu, ce dimanche 29 août, à la bibliothèque Grand’rue et à la chapelle Saint-Jean. Au cas où vous hésiteriez encore, M+ vous donne cinq bonnes raisons de vous y rendre !

1. Pour (re)découvrir l’écriture, sous toutes ses formes !

Le festival Motàmot s’adresse à tous et même ceux qui n’ouvrent jamais de livre y trouveront leur bonheur, dans une ambiance ludique, artistique et festive qui invite au partage ! Les férus de lecture et toutes celles et ceux qui ont un jour rêvé de prendre leur plume pour s’exprimer y trouveront leur bonheur à coup sûr, avec pas moins de 22 ateliers organisés tout au long de la journée, pour les petits comme les grands, avec des propositions qui sortent clairement des sentiers battus !

2. Pour les ateliers

Les ateliers justement, parlons-en ! Sans entrer dans une liste à la Prévert de ce qui sera proposé ce dimanche (on vous laisse découvrir le programme complet  au pied de l’article), notre attention a été retenue par plusieurs rendez-vous. Les enfants devraient apprécier la lecture de l’album « Chère Mamie » d’Emilie Chazerand, suivie d’un atelier d’écriture de lettres rigolotes à une grand-mère ; l’atelier de création de carte postale d’un voyage imaginaire animé par Sylvie Kromer ; la transformation d’une lettre de l’alphabet en monstre rigolo ; ou encore la création d’un album en forme de t-shirt, à la façon de Gilles Baum ! Les adultes, eux, devraient prendre un malin plaisir à écrire un texte de fiction à partir d’un fait divers bien réel, à se mettre dans la peau d’un scénariste avec Stéphane Piatzszek, ou à jouer avec les mots acrostiche, calligramme, questionnaire de Proust…

3. Parce qu’il y a aussi de la musique

Littérature et musique sont souvent liées et c’est donc tout naturellement que Motàmot intègre de la musique dans sa programmation. Ce dimanche, trois projections de performances musicales sont ainsi proposées : de l’improvisation au piano par Karol Beffa, la lecture d’histoires pétillantes par Marie Brignone, au chant et au piano, ou encore la projection d’une lecture musicale du roman « Les roses fauves », par la marraine du festival, Carole Martinez. Enfin, le violoncelliste Americo Esteves et le violoniste Michel Demagny, tous deux musiciens de l’Orchestre symphonique de Mulhouse, donneront un concert hommage à Karol Beffa, en interprétant deux de ses œuvres, « Masques I et II ».

4. Pour rencontrer de nombreux auteurs…

En plus des ateliers, de nombreuses rencontres sont prévues avec les auteurs invités pour ce festival dominical. Ou l’occasion de découvrir les secrets de Sorj Chalandon et Murielle Magellan pour passer du réel à la fiction sans les trahir ; de rencontrer les autrices Dalie Farah et Joffrine Donnadieu, qui ont écrit sur la violence, qu’elle soit publique ou intime ; de mieux comprendre comment le jeu entretient des liens avec la littérature, avec Yves Grevet et Stéphane Piatzszek ; de mieux connaître Carole Martinez, la marraine du festival, qui tentera d’expliquer son rapport à l’écriture, ses inspirations et ses émotions…

5. …avant d’acheter leurs livres !

Parce que Motàmot, organisé par la Ville, est un festival d’écriture qui fait la part-belle à la lecture, les libraires mulhousiens Bisey, Tribulles et Le Liseron seront présents pour faire vos emplettes, et les auteurs annoncés se feront un plaisir d’en personnaliser la 2e de couverture, rien que pour vous !

Dimanche 29 août, de 10h à 20h, à la Bibliothèque Grand’rue et à la chapelle Saint-Jean. Gratuit. Pass sanitaire exigé pour les personnes de plus de 18 ans. Port du masque obligatoire à partir de 11 ans. + d’infos sur bibliotheques.mulhouse.fr/motamot, téléchargez le programme complet.