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7 décembre 2020 à 17h03 par 0

OLesMasques : un Mulhousien derrière ces masques « made in » Alsace

OLesMasques : un Mulhousien derrière ces masques « made in » Alsace | M+ Mulhouse
OLesMasques : un Mulhousien derrière ces masques « made in » Alsace | M+ Mulhouse

OLesMasques : un Mulhousien derrière ces masques « made in » Alsace

7 décembre 2020 à 17h03 par 0

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Temps de lecture : 4 minutes

De composition 100% française et quasi 100% locale, la nouvelle marque OLesMasques se décline à travers 27 modèles de masques en tissu adultes et enfants aux motifs soignés, à commander en ligne. Le début d’une belle histoire que l’on doit au Mulhousien Jean-Michaël Peinchina et à sa complice professionnelle du Tarn, Chloé Fernagut.

Après le rodage, l’ouverture officielle. Vous avez peut-être déjà repéré le nom sur les réseaux sociaux (Facebook/olesmasquesfrInstagram.com/olesmasquesfr), OLesMasques est officiellement née. Plus qu’une marque, OLesMasques se décline à travers un catalogue en ligne proposant quelque 27 modèles de masques en tissu aux motifs soignés, pour femmes, hommes et enfants, de composition quasi 100% locale.

Qualité

Le Mulhousien Jean-Michaël Peinchina à l’initiative d’OLesMasques.

« Nous avons fait le choix de la qualité et du local. Le tissu est fabriqué en partie par l’entreprise Freudenberg à Colmar, les élastiques proviennent de la corderie Meyer-Sansboeuf de Guebwiller, alors que l’impression, la confection et l’expédition sont confiées à la société Colorathur à Fellering », résume le Mulhousien Jean-Michaël Peinchina, qui s’est lancé dans l’aventure d’OLesMasques avec Chloé Fernagut, basée à Rabastens dans le Tarn. L’histoire d’une rencontre professionnelle, débutée sur le réseau LinkedIn, qui perdure malgré le petit millier de kilomètres qui sépare le gérant de Keybop, cabinet spécialisé en impression numérique textile, et la consultante spécialiste du digital, bien décidés à unir leurs compétences pour le meilleur. Le tout en un temps record, deux mois s’étant écoulés à peine, de l’idée au lancement de la marque OLesMasques.

Pragmatisme

Catherine KohlerOLesMasques travaille essentiellement avec des entreprises haut-rhinoises.

« Avec la crise sanitaire, mon activité professionnelle a baissé et plutôt que de cogiter ou de tourner en rond, j’ai préféré rebondir. La situation actuelle nécessite de se réinventer professionnellement », explique Jean-Michaël Peinchina, qui s’est lancé, avec pragmatisme, dans le projet, avec sa complice, en planchant sur le design des masques, en allant démarcher les futures entreprises partenaires, en créant la plateforme de vente en ligne (…) et en ficelant un business model qui ne tire pas de plans sur la comète. Un gage souvent de réussite pour demain, voire après-demain.

« Oui, je pense qu’il y a vraiment de la place sur le marché pour fabriquer des masques de qualité en se démarquant avec des motifs sympas, en visant une clientèle plutôt jeune mais aussi les enfants. L’idée est de redonner un peu le sourire à ces visages aujourd’hui dissimulés pour notre protection, confie le Mulhousien. Dans un premier temps, on table sur 20 à 30 commandes par jour, à terme l’objectif serait d’atteindre les 100 commandes mais n‘allons pas trop vite ! J’ai la chance de travailler avec un fabriquant qui arrive à intégrer nos commandes, forcément en petite quantité, dans son process de fabrication. C’est très confortable et cela permet de pouvoir livrer les masques sous cinq jours, après avoir passé commande. Les réactions sont plutôt encourageantes, on a même eu des commandes des Etats-Unis ! ».

Artistes et espace pro

Catherine KohlerLe catalogue en ligne propose aujourd’hui 27 modèles, pour adultes et enfants.

Si rien n’interdit de rêver plus grand, pour l’heure, OLesMasques vise essentiellement le marché français avec des prix non-prohibitifs au vu de la qualité des masques proposés. Comptez 12 euros le masque enfant et 15 euros le masque adulte, tri-couche, lavable 50 fois et répondant aux spécifications AFNOR. Et comme chez OLesMasques, on a de la suite dans les idées, certains masques portent l’empreinte d’artistes. Après les masques tel « Tatonattestation » écrit en « bon Fraenkel », d’autres signatures d’artistes devraient se greffer au fil des semaines.

« Au même titre que notre souhait de travailler avec des entreprises locales, il nous a semblé important de faire collaborer des artistes sur des collections, cela permet de les soutenir, tout en nous démarquant. Ces masques sont vendus plus cher, à 17 euros, mais la majoration du prix et une partie des bénéfices sont reversés aux artistes », explique Jean-Michaël Peinchina, qui a aussi imaginé un espace professionnel proposant de commander des masques en plus gros volumes et personnalisables, au gré des demandes à tarifs attractifs, largement en dessous des prix des masques individuels. « On est vraiment au début de l’aventure, ça prend du temps mais c’est passionnant. Et comme les premiers retours sont bons ! » Affaire à suivre…

Offre de lancement pour les lecteurs de M+

Pour son lancement, OLesMasques propose une offre spéciale aux lecteurs de M+ « 3 masques achetés pour le prix de 2 ». Pour en bénéficier, il suffit de saisir le code promo MULHOUSE32 lors de votre commande en ligne sur olesmasques.fr

+ d’infos : olesmasques.fr

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